Lors de cet exercice je disposai de 4 images et d'éléments imposés ensuite à moi de laisser libre cours à mon imagination

Il était une fois une fillette qui ne savait pas sourire elle s’appelait blum. Elle n’avait jamais sourit car elle se sentait comme une pomme coupée en deux elle était persuadé qu’il lui manquait sa deuxième moitié « un frère jumeau »

Elle les imaginait tout deux dans leur petite maison avec leur mère ayant juste besoin de se regarder pour se comprendre, jouant dans les bois à n’en plus en finir, rigolant au moindre regard complice.

C’est pourquoi un jour n’y tenant plus blum fit son sac dit au revoir à sa mère et partit en quête de ce frère.

Sa mère lui remit un petit souriceau pour l’accompagner. Elle lui fit la recommandation de bien prendre soin de lui car ce n’était pas un souriceau comme les autres il avait des pouvoirs qui aideraient la fillette au sourire perdu lors de son périple.

Il suffisait de d’utiliser la formule magique « s’il te plait ……. Merci »

Toutes deux partirent, au bout de quelques heures la petite fille à bout de force s’arreta dans une clairière elle sortit un bout de pain et du fromage qu’elle partageat avec son nouvel ami.

Elle lui dit souriceau « s’il te plait n’aurais tu pas une solution pour moi je n’arrive plus à marcher. Mais si blum tu as le droit de me demander en 3 occasions d’avoir recours à un tapis volant qui t’emmenera là ou tu le désires.

Oh ! Merci souriceau j’ai révé d’un pays dont je ne connais pas le nom mais j’ai vu beaucoup de sable de grandes pyramides un gros chat en pierre « je commencerai là la recherche de mon frère »

Souriceau su tout de suite d’où parlait blum, c’était l’Egypte avec ses pyramides, son sphinx, mais c’est en cet endroit que depuis des millenaires se succédaient des rois et des princes à la recherche de la formule au trois secrets et de l’anneau d’or qui permettaient de délivrer le royaume perdu de l’horrible valtor même si cela n’était pas le but du voyage, souriceau savait que la fillette devait si rendre pour le liberer du maléfice que valtor lui avait jeté quand il lui

Avait jeté un sort en le transformant de prince en souris.

Ainsi arrivèrent en Egypte une fillette sans sourire avec sa souris sur un tapis magique.

Elles se posèrent sur la tête du sphinx, la souris expliqua son problème à blum lui dévoilant son secret ainsi que la présence de son frère jumeau au royaume perdu.

Forte de cette nouvelle la fillette décida de partir en quête de cette formule et de l’anneau.

La formule se trouvait au sommet de la pyramide pour y parvenir il lui fallait trouver le bon chemin dans ce labyrinthe. Grâce à la malice de souriceau et à l’ingéniosité de blum elles parvinrent au sommet.

Dans une petite pièce sur une table central un parchemin y était posé entouré de l’anneau d’or.

Blum l’attrapa, au môment ou elle s’en empara la pointe de la pyramide s’ouvrit telle une fleur et valtor apparut paré de son épée maléfique. En un instant blum dit « s’il te plait souriceau partage avec moi le tapis volant ………merci »

Elle ouvrit le parchemin manquant au passage de perdre l’équilibre sur le tapis qui lui tenter d’exquiver les assauts de l’épée de valtor

Elle lut aussitôt la première formule magique destinait à neutraliser ce personnage maléfique et la magie opéra valtor fut arreté figer comme une pierre.

Blum en profita pour lire la deuxième formule qui était « que la force soit avec toi »

Celle-ci lui permit de soulever d’épée, d’anéantir valtor et de délivrer le royaume perdu.

Souriceau et blum remontèrent une dernière fois sur le tapis en se dirigeant vers le royaume retrouvé. Ils eurent la joie arrivé dans celui-ci de dècouvrire que les habitants avaient repris vie, il ne restait qu’une chose à faire : prononcer la formule pour délivrer souriceau du sort.

Blum était un peu triste elle craignait de perdre un amis précieux.

Souriceau la fixait avec un regard implorant si bien qu’elle énonça la formule « magie, magique a souriceau rend son apparence »

A cet instant un beau prince au cheveu d’or au regard de velours apparut il avait une beauté et une grâce époustouflante blum fut immédiatement sous le charme comme foudroyé par l’amour.

Sa joie fut décuplé quand il lui présenta un jeune garçon au sourire triste, quand leur regard se rencontrèrent un large sourire irradia leur visage.

Quelques semaines plus tard blum et le beau prince se marièrent dans la joie du royaume qui avait retrouvé vie, en compagnie de son frère dont elle était inséparable et de leur mère

La moral de cette histoire est que sous l’apparence d’un souriceau peut se cacher un beau prince et que l’habit ne fait pas le moine.